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Un assureur américain baisse ses prix si le client accepte d'utiliser un bracelet de santé #hcsmeufr 

Un assureur américain baisse ses prix si le client accepte d'utiliser un bracelet de santé #hcsmeufr  | eHealth mHealth HealthTech innovations - Marketing Santé innovant | Scoop.it

Aux États-Unis, une compagnie d'assurance a décidé de généraliser les accessoires connectés de santé dans ses contrats d'assurance-vie. Leur utilisation permet de faire baisser le coût du contrat. Mais cela se fait à condition d'accepter un suivi comportemental.

 

C’est une tendance de fond, que rien ne semble pouvoir arrêter. La démocratisation des accessoires connectés  que l’on peut porter sur soi en quasi-permanence, jointe avec le développement d’outils capables de mesurer l’état de santé et l’activité physique effectuée chaque jour, est en train de conduire les compagnies d’assurance à les intégrer de plus en plus dans leurs offres.

 

Dernier exemple en date, celui-ci de John Hancock Financial. L’assureur américain ne vend désormais plus que des contrats d’assurance-vie dans lesquels une réduction des cotisations est proposée aux clients qui acceptent de faire régulièrement de l’exercice physique et de l’évaluer à travers un appareil connecté, qu’il s’agisse d’une montre, d’un bracelet de fitness ou d’un smartphone.

 

« La promotion de saines habitudes de vie est dans l’intérêt de John Hancock Financial », observe Quartz. « Plus ses clients vivent longtemps en moyenne, plus les mensualités sont perçues et plus les indemnités sont versées tardivement ». D’autres avantages peuvent aussi être mis en avant, y compris des rabais et des coupons pour d’autres compagnies, comme Hotels.com.

 


Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
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Applications, montres connectées... : les Français se convertissent à l’e-santé

Applications, montres connectées... : les Français se convertissent à l’e-santé | eHealth mHealth HealthTech innovations - Marketing Santé innovant | Scoop.it

Les applications de suivi de l’activité et de l’alimentation sont plébiscitées, ainsi que les traqueurs d’activité et les tensiomètres.

Des objets connectés pour surveiller sa santé, des téléconsultations médicales, mais pourquoi faire  ? Le cabinet Deloitte a réalisé une enquête auprès de 1.745 personnes et livre quelques indices. 

Logiquement, 78 % des sondés veulent que se développent les dispositifs de suivi et de consultation à distance, et une proportion croissante disent utiliser des objets connectés pour leur santé : ordinateur, montre ou smartphone. Plébiscités par les jeunes à 44 % et par les CSP+ à 29 %, les applications de suivi de l'activité physique devancent les applications de suivi de l'alimentation. Viennent ensuite les traqueurs d'activité et les objets connectés pour le sommeil.

Parmi l'échantillon, 19 % des sondés disent utiliser au moins un objet connecté pour leur santé, et 25 % pensent qu'ils le feront à l'avenir. Demain, ils veulent recourir au dossier médical électronique (33 %), aux outils de consultation à distance (25 %). Les applications de suivi de la santé ou les solutions de télésurveillance suscitent moins d'espérances. Et ils croient au déclin à venir des outils de prise de rendez-vous en ligne, pourtant utilisés par 28 % d'entre eux aujourd'hui, et des sites Internet et communautés, que 45 % des sondés fréquentent.

En moyenne, un quart des Français sont prêts à payer pour des outils de santé connectée : traqueurs d'activité (34 %), tensiomètres (34 %), capteurs pour le sommeil (26 %), thermomètre (19 %), glucomètre (17 %), pilulier (14 %). Les jeunes (18-24 ans) sont disposés à verser 10 à 12 euros par mois, quand les CSP+ préfèrent 4 à 7 euros.


Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
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